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Guarda che intruder, nel suo ultimo post, si riferiva alle leggi inglesi postate da me!!!
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Ritirata?!?!?! Ma se la "Sao Paulo" è in piena attività!!! Comunque, aspetto e spero!!!
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E dire che le greche meritano e molto pure!!!
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Si e lì all'esterno del Museo che si trova in Leoforos Vasilissis Sofias, l'F-104 era già esposto nel 1990, quando l'ho visto io e quando in Italia era ... nel pieno della sua operatività!!!
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Si, il sito è molto bello e completo. Oddio, in campo navale, una piccola lacuna c'è: certo, se volesse ... potrebbe colmarla!!!
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E vediamo allora chi vince, in stupidità delle leggi, tra noi e gli inglesi; ecco, appunto, i link a quelle inglesi: http://www.tgcom.mediaset.it/mondo/articol...olo424477.shtml http://www.tgcom.mediaset.it/mondo/articol...olo424476.shtml
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La carica di Isbuschenskij del "Savoia Cavalleria"
picpus ha risposto a picpus nella discussione Eventi Storici
Forse, la traduzione più corretta in italiano, potrebbe essere: in ultimo, ma non per ultimo! -
Dai uno sguardo all'articolo che ho riportato al seguente link: http://www.aereimilitari.org/forum/index.p...st&p=168212 (messaggio n° 142) ed, in particolare, alla seguente frase, evidenziata in azzurro: "...La Russia ha bisogno di vendere il suo petrolio, quanto noi di acquistarlo. Talvolta si riesce a ricattare un ricattatore. ..." Riflettete, riflettete bene, voi russi: le risorse le avete sempre avute, anche al tempo dell'URSS ed ancor più di quelle attuali, controllavate anche tutte quelle delle repubbliche ora indipendenti; eppure si è visto il risultato!!! EDIT Per Legolas: al seguente link: http://it.babelfish.yahoo.com/ si può ottenere una traduzione di un intero brano, non certo perfetta ma sufficiente per comprendere il senso! Ah, facendo la prova, ho visto che traduce pure il termine "figaro" con "barbiere": non fateci caso!!!
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Dal link: http://www.lefigaro.fr/international/2008/...rs-ossetes-.php vi riporto un articolo in cui si parla delle razzie fatte dagli osseti al seguito dei soldati russi (che si son ben guardati dall'impedirlo!): Dans les villages dévastés par les irréguliers ossètes De notre envoyé spécial à Tkviavi, Adrien Jaulmes 18/08/2008 | Mise à jour : 08:30 | Crédits photo : ASSOCIATED PRESS Les exactions ont été nombreuses après le passage de l'armée russe. Dans le bureau du gouverneur de Gori, trois hommes sont penchés sur une carte. Dans un coin de la pièce, un drapeau européen, comme symbole de l'alignement occidental de la Géorgie de Saakashvili. À travers la fenêtre brisée par les bombardements, le dos de la statue géante de Staline, natif de Gori, comme symbole de l'Empire qui vient de rappeler brutalement son existence à ce petit pays du Caucase. Le gouverneur, Vladimir Vardzelashvili, est un tout jeune homme. Il a l'air las des gens qui manquent de sommeil. Nommé voici à peine six mois gouverneur de Gori, à l'âge de 29 ans, il a vu sa ville d'abord bombardée, puis envahie par l'armée russe, et depuis lors pratiquement coupée du monde. Le second semble vieilli par sa calvitie, mais il n'a guère plus de quarante ans. Alexander Lomaia a déjà occupé plusieurs postes de ministre. Lui aussi est l'un de ces brillants jeunes gens dont s'est entouré Micha Saakashvili depuis son élection en 2003. Secrétaire du conseil de sécurité du gouvernement géorgien, il a obtenu à grand-peine l'accès à Gori d'un peu d'aide humanitaire, au terme de dures négociations avec le léonin général Borissov, commandant russe du secteur. Le troisième est un pope, qui se lisse la barbe au-dessus de la carte. Lomaia montre sur le plan une série de villages au nord de Gori. «Nous savons qu'il y a un certain nombre de gens qui vivent là-bas, surtout des vieillards. Mais nous ne pouvons pas les atteindre, à cause des pillards ossètes, et les Russes interdisent à nos policiers de s'y déployer», dit-il. Les trois hommes décident de tenter d'apporter au moins du ravitaillement à ces populations. Des bus jaunes ont été réquisitionnés, des sacs de vivres entassés entre les sièges. Un député géorgien venu de Tbilissi, Micha Kavkaradze, un pope en soutane noire, deux jeunes volontaires géorgiens. Un soldat russe s'assied à côté du conducteur, concession humanitaire du général Borissov, qui aidera à passer les lignes. Et le bus se met en route vers le nord, en direction de l'Ossétie. La route est déserte. Le bus croise seulement des convois russes. Certains remontent vers le nord, des groupes de soldats assis sur le toit des blindés. Mais d'autres continuent de descendre vers le sud, vers Gori. Le retrait russe n'avait dimanche toujours pas eu lieu, malgré l'accord de cessez-le-feu entre Tbilissi et Moscou. Le bus atteint enfin les premiers villages, Karaleti, Tkviavi, annoncés par des pancartes écrites en alphabet latin et dans les étranges caractères géorgiens. Tout à l'air à l'abandon. Des chiens aboient sur les porches de grosses maisons prospères, avec leurs vérandas de bois peint, couvertes de treilles chargées de raisins. Certaines portent les traces noires des incendies. Des vaches qui n'ont pas été traites meuglent dans les jardins. Mais les habitants se sont volatilisés. Ces villages géorgiens situés sur la route de Tskinvali, la capitale de l'Ossétie du Sud, ont été traversés par l'armée russe au début de la guerre. Derrière les chars russes sont arrivés les maraudeurs Ossètes. Héritiers des écorcheurs de la guerre de Cent Ans, et des pillards qui suivent toutes les armées en marche, ces bandes se sont jetées sur la région comme une nuée de sauterelles, pillant et détruisant tout sur leur passage. Regard apeuré Micha Kavkaradze, député du Parlement géorgien, hurle dans les rues désertes : «Il y a quelqu'un ?» Au bout d'un moment un portail s'entrouvre sur un regard apeuré. «Venez ! Sortez !», dit le député, «nous apportons du ravitaillement. Nous sommes là pour vous aider !». Une toute petite vieille dame vêtue de noir sort enfin de chez elle, et fond en larmes dans les bras du député. «Ils sont venus tout voler et tout brûler !», dit-elle. D'autres habitants sortent à leur tour de leurs cachettes. La plupart sont des personnes âgées, qui n'ont pas pu, ou pas voulu fuir avec les autres habitants. «Les soldats russes ne nous ont rien fait», explique une dame, «mais après leur passage, les Ossètes et les Cosaques sont arrivés. Ils tiraient sur le bétail, et rentraient dans les maisons pour piller. Ils m'ont demandé où était mon or. Je leur ai dit que je n'en avais pas. Je leur ai donné le peu d'argent que j'avais. Mais ils continuaient de hurler : Ton or ! Ton or !», raconte la vieille dame, avant de fondre en larmes au souvenir de la terreur qu'elle a éprouvée. Le député la serre dans ses bras, et les jeunes volontaires lui donnent des sacs de vivres. Le bus atteint le village de Tkviavi. Klaxonne. Et émergent, prudemment des portails, de nouveaux visages hagards, des habitants terrorisés. Leurs témoignages se ressemblent tous. Tous disent la brutalité des irréguliers ossètes. Gini Naochavili, un vieil homme appuyé sur sa cane, le visage sillonné de larmes, montre des caisses de matériel militaire abandonné par l'armée géorgienne dans sa fuite devant le rouleau compresseur russe pendant les premiers jours de la guerre. Un cadavre grouillant de vers est encore étendu dans la rue, recouvert d'une caisse. «Personne ne sait qui c'est. Il fuyait, quand les Ossètes sont passés et l'ont abattu», dit-il. Personne ne sait encore combien de gens sont morts dans ces razzias meurtrières. Ni si les Russes repasseront un jour les cols du Caucase, ou bien resteront, sous couvert de protéger l'indépendance prochaine des républiques minuscules qu'ils ont créées dans le territoire géorgien, l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie. Ni quand les habitants des villages pourront revenir chez eux. __________ Dal link: http://www.lefigaro.fr/politique/2008/08/1...de-georgie-.php un intervento del Presidente francese, Nicolas Sarkozy: La Russie doit se retirer sans délai de Géorgie 17/08/2008 | Mise à jour : 20:20 | Dans une tribune au « Figaro» , le chef de l'Etat affirme qu'il convoquera un Conseil européen extraordinaire si l'accord de cessez-le-feu n'est pas appliqué rapidement. Le moment viendra où l'enchaînement des faits et des responsabilités pourra être établi de façon incontestable et impartiale : les semaines de provocations et d'escarmouches le long de la ligne qui sépare l'Ossétie du Sud du reste de la Géorgie ; l'intervention militaire irréfléchie de la Géorgie à l'intérieur de la province rebelle dans la nuit du 7 au 8 août ; la réponse brutale et disproportionnée des troupes russes refoulant la petite armée géorgienne d'Ossétie du Sud, la délogeant d'Abkhazie l'autre province séparatiste où elle avait repris pied en 2006 , avant d'investir une partie du reste du territoire géorgien. Face au déchaînement de la violence, l'urgence était ailleurs : dès le début des hostilités, la France et l'Europe se sont pleinement investies sur le terrain diplomatique. La première priorité était d'obtenir un cessez-le-feu, pour que prennent fin les souffrances des populations et les destructions. Encore fallait-il créer les conditions pour le faire accepter à la fois par les Russes et par les Géorgiens. Contre l'avis de beaucoup qui nous promettaient l'échec, nous avons ainsi décidé, avec Bernard Kouchner, de nous rendre à Moscou et à Tbilissi dès le 12 août, munis de propositions pour convaincre les Russes qu'il était plus que temps de faire taire les armes et les Géorgiens qu'ils avaient plus encore à perdre à la poursuite de la guerre. Les longs entretiens que nous avons eus avec Dmitri Medvedev et Vladimir Poutine dans la journée au Kremlin puis avec Mikhaïl Saakachvili dans la nuit à Tbilissi ont finalement permis d'arracher l'accord des deux parties à un plan de sortie de crise en six points. Ce plan ne réglait pas tout. Ce n'était d'ailleurs pas son objet. Mais il a consacré l'accord des parties au cessez-le-feu. Sa signature par les présidents Medvedev et Saakachvili, et par moi-même au nom de l'Union européenne, permet le retrait des forces russes sur leurs positions d'avant le déclenchement des hostilités, conformément aux assurances que le président Medvedev m'a données. Ce retrait doit être effectué sans délai. Ce point n'est pas négociable à mes yeux. Il doit concerner toutes les forces russes qui sont entrées en Géorgie depuis le 7 août. Si cette clause de l'accord de cessez-le-feu n'était pas appliquée rapidement et totalement, je serais amené à convoquer un Conseil européen extraordinaire pour décider des conséquences à en tirer. Au-delà du retrait, beaucoup reste à faire pour stabiliser durablement la situation. Une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU devra consolider les premiers acquis en leur donnant une force juridique universelle. Un dispositif international devra être mis sur pied pour séparer les parties et vérifier qu'elles s'acquittent de leurs engagements. La communauté internationale devra se mobiliser pour venir en aide aux populations déplacées ou réfugiées et pour aider la Géorgie à se relever de ses destructions. Nous devrons aussi déterminer si l'intervention de la Russie contre son voisin géorgien aura été une réponse brutale et excessive , dans ce cas singulier, ou si elle inaugure un nouveau durcissement de Moscou vis-à-vis de ses voisins et de la communauté internationale tout entière, ce qui aurait inévitablement des conséquences sur sa relation avec l'Union européenne. La Russie doit se convaincre qu'elle sera d'autant plus entendue et respectée qu'elle apportera une contribution responsable et constructive au règlement des problèmes de notre temps. Mais il est d'ores et déjà un enseignement que l'on peut tirer de cette crise : l'Union européenne a répondu présent. L'Europe s'est mise en première ligne dès le début des hostilités pour résoudre ce nouveau conflit sur le sol européen, le troisième depuis la chute du mur de Berlin, après l'ex-Yougoslavie au début des années 1990 et le Kosovo à la fin de la décennie. Dans cette première phase du règlement de la présente crise, l'engagement de l'Europe a été décisif : c'est l'Union, à travers la France, qui a ouvert un espace pour la diplomatie en proposant rapidement des termes raisonnables pour un cessez-le-feu, rendant ainsi exorbitant pour les deux parties le coût politique d'une poursuite de la guerre. Si nos efforts ont produit de premiers résultats, c'est parce que l'Europe malgré quelques différences de ton ne s'est pas enfermée dans la seule condamnation. En préférant l'action et la négociation à l'incantation et à la simple dénonciation, l'Europe a pu rétablir un rapport de forces positif avec la Russie et se faire entendre d'elle. Quand la maison brûle, la priorité est d'éteindre le feu. L'Europe a ainsi prouvé qu'elle pouvait beaucoup quand elle était animée d'une forte volonté politique. Un deuxième enseignement mérite d'être relevé : si le traité de Lisbonne en cours de ratification était déjà en application, l'Union européenne aurait été dotée des institutions dont elle a besoin pour faire face à une crise internationale : un président stable du Conseil européen agissant en concertation étroite avec les chefs d'État et de gouvernement de l'Union les plus concernés ; un haut représentant doté d'un véritable service diplomatique européen et de moyens financiers considérables pour assurer, en liaison avec les États membres, la mise en œuvre des décisions prises. Ainsi, je reste convaincu que la mission première de l'Europe est de protéger les Européens. C'est bien ce que nous avons fait en mettant tout en œuvre pour réduire ce nouveau conflit dont les conséquences pourraient être catastrophiques s'il se révélait être annonciateur d'une nouvelle guerre froide.
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Ho già avuto occasione di farlo notare: non si può condannare un russo se, per difendere ciò che fa Putin, dice che l'asino vola o che il bianco è nero; diciamo che è da apprezzare il suo patriottismo!!! E ci fermiamo lì!!!
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Ritengo che, a questo punto, sarebbe opportuno chiudere questa discussione e continuare solo sull'altra.
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Dal link: http://www.corriere.it/editoriali/08_agost...44f02aabc.shtml riporto un intervento di André Glucksmann e Bernard-Henri Lévy (se qualcuno non li conosce ... cerchi su ... wikipedia!)! Ora difendiamo Tbilisi Non sia un’altra Sarajevo Il nazional-capitalista Putin non è un interlocutore affidabile di André Glucksmann e Bernard-Henri Lévy Traduzione di Rita Baldassarre Non crediate che si tratti di una faccenda locale: siamo forse davanti alla svolta più decisiva della storia europea dalla caduta del Muro di Berlino. Sentiamo strepitare da Mosca: «Genocidio!» accusa Putin, che non si era nemmeno degnato di pronunciare questa parola nel cinquantesimo anniversario di Auschwitz. «Monaco!» invoca il tenero Medvedev. E così Medvedev vuole insinuare che la Georgia, con i suoi 4,5 milioni di abitanti, sia la reincarnazione del Terzo Reich. Staremo molto attenti a non sottovalutare le capacità mentali dei due leader, ma sospettiamo che nel fingere indignazione, e soprattutto esagerandola, i governanti russi manifestino la volontà di compiere un’azione risolutiva. Gli spin doctors del Cremlino hanno ripassato i classici della propaganda totalitaria: più è grossa la menzogna, più si picchia duro. Chi è stato il primo ad aprire il fuoco, questa settimana? La domanda è superata. I georgiani si sono ritirati dall’Ossezia del sud, il territorio che la legge internazionale riconosce — vale la pena di ricordarlo — sotto la loro giurisdizione. Si sono ritirati dalla cittadine vicine. Dovrebbero ritirarsi anche dalla loro capitale? La verità è che l’intervento dell’esercito russo oltre confine, contro un Paese indipendente, membro delle Nazioni Unite, rappresenta una grande novità da diversi decenni a questa parte—per essere esatti, dall’invasione dell’Afghanistan. Nel 1989, Gorbaciov si era rifiutato di spedire i carri armati sovietici contro la Polonia di Solidarnosc. Eltsin si è guardato bene, cinque anni dopo, dal permettere alle divisioni russe di penetrare in Jugoslavia per appoggiare Milosevic. Putin stesso non ha rischiato di schierare le sue truppe contro la «rivoluzione delle rose» (Georgia, 2002) e successivamente la «rivoluzione arancione» (Ucraina, 2004). Oggi tutto traballa. E sotto i nostri occhi si profila un mondo nuovo, regolato da nuove norme. Che cosa aspettano Unione Europea e Stati Uniti per bloccare l’invasione della Georgia, Paese amico dell’Occidente? Vedremo Mikhail Saakashvili, leader filo-occidentale, democraticamente eletto, finire i suoi giorni silurato, esiliato, rimpiazzato da un fantoccio o appeso a un cappio? Si ristabilirà l’ordine a Tbilisi come è stato riportato a Budapest nel 1956 e a Praga nel 1968? A queste semplici domande occorre ribattere con un’unica risposta. Occorre salvare una democrazia minacciata di morte. Perché questa storia non riguarda esclusivamente la Georgia, ma anche l’Ucraina, l’Azerbaigian, l’Asia centrale, l’Europa dell’est, e pertanto l’Europa stessa. Se permettiamo ai carri armati e ai bombardieri di distruggere la Georgia, faremo capire a tutti i Paesi della regione, più o meno vicini della Grande Russia, che non li difenderemo mai, che le nostre promesse sono carta straccia, le nostre buone intenzioni parole a vanvera e che non devono aspettarsi niente da noi. Resta poco tempo. Cominciamo quindi con l’annunciare chiaramente chi è l’aggressore: è la Russia di Vladimir Putin e di Dmitrij Medvedev, questo celebre «liberale» sconosciuto che dovrebbe fare da contrappeso al nazionalismo dell’altro. Basta con il regime della tergiversazione e delle lucciole per lanterne: i 200 mila morti della Cecenia, bollati come «terroristi»; il destino del Caucaso del nord, una «questione interna»; Anna Politkovskaya, giornalista suicida; Litvinenko, un marziano... E ammettiamo infine che l’autocrazia putiniana, nata per grazia degli oscuri attentati che insanguinarono Mosca nel 1999, non rappresenta un partner affidabile, e ancor meno una potenza amica. Forte di quale diritto questa Russia aggressiva, minacciosa e in cattiva fede, è ancora membro del G8? Perché siede ancora nel Consiglio d’Europa, istituzione nata per difendere i valori del nostro continente? A cosa serve prodigarsi in costosi investimenti, specie tedeschi, per realizzare un gasdotto sotto il Baltico con il solo vantaggio — per i russi — di aggirare le condutture che attraversano Ucraina e Polonia? Se il Cremlino insiste nella sua aggressione nel Caucaso, non sarebbe il caso che l’Europa riconsideri l’insieme dei suoi rapporti con il grande vicino? La Russia ha bisogno di vendere il suo petrolio, quanto noi di acquistarlo. Talvolta si riesce a ricattare un ricattatore. Se riuscirà a trovare l’audacia e la lucidità per accettare la sfida, l’Europa si dimostrerà forte. Altrimenti è morta. I due firmatari di questo articolo imploravano pubblicamente, in una lettera datata il 29 marzo 2008, Angela Merkel e Nicolas Sarkozy di non ostacolare l’avvicinamento di Georgia e Ucraina alla Nato. Una decisione in tal senso avrebbe tutelato i loro territori. Il gas avrebbe continuato ad arrivare. E la «logica di guerra», che tanto spaventa i nostri Norpois, si sarebbe inceppata. Al contrario, siamo convinti che il nostro rifiuto invierà un segnale disastroso ai nuovi zar della Russia nazional-capitalista. Mostrerà loro che siamo deboli e inaffidabili, che Georgia e Ucraina sono terre di conquista e che noi siamo pronti a immolarle volentieri sull’altare delle rinnovate ambizioni imperiali russe. Non integrare, o meglio, non pensare ad integrare questi Paesi nello spazio della civiltà europea avrà un effetto destabilizzante sulla regione. In breve, se si cede a Vladimir Putin vuol dire che siamo disposti a sacrificare in suo onore i nostri principi, e ritirandoci prima ancora di aver tentato qualcosa, non faremo altro che rafforzare, a Mosca, il nazionalismo più virulento. Sarebbe come immaginare il peggio, senza volerci credere fino in fondo. Ma il peggio si è già verificato. Per non turbare Mosca, Francia e Germania hanno apposto il loro veto a questa prospettiva di adesione. Putin ha compreso a meraviglia il messaggio, tanto da scatenare la sua offensiva in segno di ringraziamento. È venuta l’ora di cambiare metodo. Gli europei hanno assistito, impotenti perché divisi, all’assedio di Sarajevo. Hanno visto compiersi, impotenti perché ciechi, la tragedia di Grozny. La vigliaccheria ci costringerà, stavolta, a contemplare passivi e prostrati, la capitolazione della democrazia a Tbilisi? Lo stato maggiore del Cremlino non ha mai creduto nell’esistenza di una «unione europea ». Sa benissimo che sotto le belle parole di cui trabocca Bruxelles fremono rivalità secolari tra sovranità nazionali, manovrabili a piacere e reciprocamente paralizzanti. Il test georgiano è una prova di esistenza o non esistenza: l’Europa che è stata edificata contro la cortina di ferro, contro i fascismi di ieri e di oggi, contro le sue stesse guerre coloniali, l’Europa che ha festeggiato la caduta del Muro e salutato la rivoluzione di velluto, si ritrova oggi sull’orlo del coma. 1945-2008: vedremo sancire la fine della nostra breve storia comune nelle olimpiadi del terrore in atto nel Caucaso? 13 agosto 2008 __________ Come "ciliegina" sulla torta, date uno sguardo a come agiscono i soldati di Putin: http://video.corriere.it/?vxSiteId=404a0ad...p;vxBitrate=300 __________ Per quanto riguarda le minacce russe, vedasi link di seguito: http://www.difesa.it/Sala+Stampa/Rassegna+...amp;pdfIndex=23 Putin si ricordi di come andò a finire la volta passata: http://www.difesa.it/Sala+Stampa/Rassegna+...amp;pdfIndex=18 Così crollò miseramente, il più barbaro regime che l'Umanità abbia mai conosciuto e che durava da più di 70 anni!!! P.S. E quanti orfani, irrimediabilmente nostalgici ha lasciato, solo però tra chi non ha mai conosciuto le delizie del paradiso sovietico e ne parla a vanvera in qualche salotto radical-chic o su qualche forum nel web!!!
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Pongo un quesito: in caso di guerra, determinata da un attacco ad un paese membro della Nato e per cui, in applicazione dell'art. 5 del Trattato del Nord Atlantico, TUTTI i paesi della Nato dovrebbero correre in soccorso di quello attaccato, che senso avrebbe che la Turchia, paese membro della Nato e quindi paese esso stesso in guerra contro il comune nemico, ponesse un veto al passaggio delle portaerei americane attraverso i suoi stretti?!?!?!
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Eccovi, dalla rassegna stampa del sito ufficiale del Ministero della Difesa, i link a due articoli interessanti, sulle mosse future da porre in essere: http://www.difesa.it/Sala+Stampa/Rassegna+...amp;pdfIndex=40 http://www.difesa.it/Sala+Stampa/Rassegna+...amp;pdfIndex=29
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Guarda che la dichiarazione di Sarkozy che ho riportato qui e quella della Merkel (favorevole all'ingresso della Georgia nella Nato) che ho postato in altro topic, hanno un valore più per segnalare il pieno compimento del processo di ricollocazione atlantica di queste due nazioni (morto e sepolto il perdente, in tutti i sensi, binomio Chirac-Schroeder!) che con riferimento all'attuale crisi russo-georgiana che, semmai, ha accelerato e di molto, il processo predetto!
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Dai, un po' è pure colpa tua!!! Ha letto la prima frase della tua firma!!!
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Dal link: http://www.ilgiornale.it/a.pic1?ID=283650&...ART=0&2col= riporto una riflessione di Vittorio Sgarbi, sulla visita del Sultano dell'Oman a Palermo: Quel sultano che vive da ergastolano di Vittorio Sgarbi Era arrivato a Palermo una decina di giorni fa, annunciato da una grande barca, ammirata da tutti i palermitani come il Rex in «Amarcord» di Fellini. Tutti sulla riva a guardare, a indicare il miraggio, di potere e danaro, apparso in un’estate senza sorprese. In Sardegna le ricchezze ostentate alla Briatore quest’anno hanno destato indignazione. In Sicilia, meno abituata allo sfarzo mondano della costa Smeralda, c’è stata più indulgenza e anche sana invidia, e ammirazione, per il lusso, questa volta manifestato senza ritegno, senza limiti e senza pudore, fino alla distribuzione immotivata di regalìe per gli umili e per i potenti, senza distinzioni, a dimostrare una superiorità riconosciuta e indiscussa. Poi, appena prima di ferragosto, S. è ripartito misteriosamente. Naturalmente S. non è arrivato in barca. L’ha mandata avanti e poi l’ha raggiunta con il suo aereo personale, più grande di quello di Berlusconi. S. è un capo di Stato e ha scelto non di venire in visita ma di venire in vacanza a Palermo, nota per la sua bellezza, per la sua storia e per i suoi monumenti. S. viene da un Paese molto ricco ma con poca storia e abita in un palazzo moderno in una città completamente nuova prossima al deserto. Dunque ha fatto una scelta felice venendo a Palermo. In una settimana potrebbe aver visto molti luoghi e cose meravigliosi. A Palermo c’è la Cappella Palatina, il Palazzo dei Normanni con mosaici meravigliosi. S. non l’ha vista. A Palermo c’è la Cattedrale con le tombe degli Svevi. S. non le ha viste. A Palermo ci sono la Cuba, la Zisa, San Giovanni degli Eremiti, la Magione, testimonianze superbe di civiltà araba. S., pur potendole trovare familiari, non le ha viste. A Palermo ci sono sontuosi palazzi barocchi: Palazzo Aiutamicristo, Palazzo Butera, Palazzo Gangi, dove Visconti girò la scena del ballo del «Gattopardo». Probabilmente S. non ha mai visto un palazzo più bello. Ma, intanto, non ha visto neanche questo. A Palermo ci sono musei inevitabili, il museo archeologico con le metope di Selinunte, il Palazzo Abatellis con i capolavori di Antonello e Van Dyck e lo straordinario affresco con il trionfo della morte. S. non li ha visti. E poi, poco lontano da Palermo, ci sono Monreale e Cefalù con le loro cattedrali e i mosaici splendenti. S. non le ha viste. A poca distanza, nella vicina provincia di Trapani, ci sono le più alte testimonianze della civiltà antica, della Magna Grecia, Segesta e Selinunte; e poi Erice, Castelvetrano, Marsala, l’isola di Mozia, Mazara del Vallo e poi Salemi, di cui io sono sindaco, con il quartiere arabo «rabato» ancora integro. S. non le ha viste. Nessuno gliene ha parlato. Nessuno lo ha accompagnato. Eppure, a lui e al suo ambasciatore si sono avvicinati il presidente della Regione Siciliana Raffaele Lombardo e altri dignitari cui S. ha donato un Rolex d’oro come avrebbe fatto con le sue concubine. Loro sono andati da lui, lo hanno omaggiato, hanno decorosamente ottenuto finanziamenti per ospedali e per il conservatorio di Palermo. Sono stati trattati con grazia come sudditi. S. non è mai uscito dalle sue stanze. Ha visto soltanto il tratto che unisce Punta Raisi con Palermo, passando distrattamente davanti alla stele che commemora Falcone e Borsellino. S. è salito sulla sua grande barca e non è più sceso fino a ieri. Ma perché S. è venuto a Palermo? Non poteva stare a casa sua o in barca in un golfo più vicino? In realtà S. non è venuto a vedere Palermo ma a farsi vedere a Palermo. Ed è stata una grande attrazione turistica per i palermitani. I quali, indifferenti ai monumenti greci, arabi, normanni, bizantini, medievali, barocchi sono stati entusiasti di vedere questo orribile barcone con piste per elicotteri e, dicono, anche giardini, che rappresentava il simbolo del potere assoluto e anche esotico. S. si è sacrificato per il loro divertimento. Umiliandoli, potenti locali compresi, anche un po’. Con grazia. S. è il sultano dell’Oman, Paese ricco e triste, con grandi giacimenti di petrolio e grandi deserti. Un sultano a Palermo! Come «Il turco in Italia» di Rossini. Ma quale sarà la felicità di un sultano se non può, o non vuole, vedere le bellezze di Palermo? Blindato nella pur comoda cabina del suo enorme ferro da stiro sembra più un ergastolano che un sultano. Prigioniero della sua ricchezza e delle sue cerimonie che non gli consentono di apparire se non con particolari liturgie, e non certamente in vacanza. Così è costretto a inviare nei migliori alberghi, le Palme, Villa Igea, Principe di Villafranca i suoi delegati, i suoi rappresentanti che hanno certamente goduto le meraviglie della città, le sue notti, il fascino anche arabo di Palermo; e se ne sta chiuso in casa (o in barca). Povero sultano. Poteva starsene in Oman e non si sarebbe accorto della differenza. Vittorio Sgarbi
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"...una fattiva collaborazione..."
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La Georgia non è isolata, Rick: per quanto difficili possano essere le comunicazioni terrestri, è confinante con la seconda potenza militare della Nato e non penso sarebbe impossibile prevedere un'adeguata copertura aerea del paese, con basi posizionate in Turchia. Peraltro, se l'ingresso dell'Ucraina è contestuale, nel Mar Nero ci sarebbero ben quattro flotte lì basate, della Nato.
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Fu attuato, cerca di leggere bene uno dei tuoi siti preferiti (wikipedia, non certo il peggiore!)! Dal link: http://it.wikipedia.org/wiki/Compromesso_storico riporto: "...Sebbene mai istituzionalizzato attraverso la partecipazione del PCI al governo, il compromesso storico ebbe, nei fatti, la sua realizzazione negli anni '80, durante i quali si instaurò una fattiva collaborazione tra i partiti di governo della coalizione di centro-sinistra ed il principale partito di opposizione, il PCI."
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A proposito della situazione dei russofoni nei paesi baltici, date uno sguardo al video al link seguente: http://www.euronews.net/it/article/15/02/2...ssian-speakers/
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In Lettonia ed Estonia, il 30-35% di russofoni, per quanto trattati, come dicevo prima, "a pesci in faccia" e sono d'accordo con te, ovviamente, non ci pensano minimamente a tornarsene nella loro grande Madre Russia!!! Stessa scelta, stai tranquillo, farebbero gli ucraini russofoni: mica sono scemi!!!
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Non hai mai sentito parlare di "compromesso storico"?!?!?! Dai, vai a cercare su wikipedia!!!
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Dal link: http://www.agi.it/ultime-notizie-page/2008...om1103-art.html riporto: GEORGIA: MERKEL, TBILISI ADERIRA' COMUNQUE ALLA NATO (AGI) - Tbilisi, 17 ago. - Il conflitto tra la Georgia e la Russia non fa cambiare idea alla Germania: Tbilisi aderira' alla Nato. Lo ha detto il cancelliere tedesco Angela Merkel in visita a Tbilisi. "LA Georgia diventera' membro della Nato se lo vuole e sembra che lo voglia". Proprio il processo di adesione all'Alleanza della Georgia e' all'origine della tensione tra Mosca e Tbilisi sfociata nel conflitto degli ultimi giorni. Allora qualcosa di positivo (non certo per Putin!) verrà pure fuori, dall'aggressione russa alla Georgia!!!
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Fermo restando che gli sperperi reali, legati al sistema della Sanità pubblica, vengono da lontano (leggasi consociativa prima repubblica cattocomunista!), che la spesa sanitaria della Regione Sicilia possa confrontarsi con quella della Finlandia, mi sembra pure normale. Per chi non lo sappia, confronti la popolazione della Sicilia, con quella della Finlandia. http://it.wikipedia.org/wiki/Finlandia http://it.wikipedia.org/wiki/Sicilia